A l’origine de l’emprise pour le passeur d’âmes

A l’origine de l’emprise pour le passeur d’âmes

19 de février de 2023 0 Par Joel

La première étape a consisté à aller découvrir la présence d’une ou de plusieurs âmes à travers des signes extérieurs de mal-être, un taux vibratoire plutôt faible et la vérification avec le pendule pour avoir la confirmation et le dénombrement. Le travail de libération va passer par la découverte de l’origine de cette emprise, du pourquoi l’être humain à un moment donné a souhaité garder une âme à ses côtés.

Cette étape est importante dans le travail du passeur d’âmes car la libération de la personne d’une emprise est généralement un travail qui implique beaucoup d’émotions qui viennent rappeler, réanimer ce traumatisme. Le(s) cibler permet d’avancer plus facilement avec le client dans l’acceptation et le passage de l’âme. Si ce travail n’est pas réalisé, le passage d’âme va bien se faire mais la personne va garder la mémoire de l’âme et continuera à vivre dans un climat de mal-être. Le stage passeur d’âmes est essentiel pour cette étude.

Plusieurs approches sont possibles pour atteindre cet objectif à travers la formation passeur d’âmes.

1. L’écoute de la personne

L’élément premier et non des moindres, c’est d’écouter la personne qui est souvent au clair avec ses ressentis et l’origine de ses souffrances. Elle évoque dès le début de l’entretien la grand-mère qui l’a élevée et dont la mort fut un choc, du fils qui a failli mourir et depuis ce jour plus rien ne va, de la découverte que son conjoint vit une double vie… Soyez à l’écoute, aux mots particuliers utilisés, aux personnes décrites, à l’origine de la souffrance. Rares sont les personnes qui ne savent pas l’origine de leur mal-être ou en tout cas qui ne l’évoquent pas directement. Vous êtes ici dans une situation ou la personne est à la recherche d’une aide et va donc, souvent, être à même d’évoquer sa situation. De plus, vous êtes souvent la seule personne qui va vraiment l’écouter. Le médecin n’a pas le temps ou lui a dit que c’était dans sa tête, le psychologue vous range dans une case, les collègues ont plutôt envie de raconter leur problèmes personnels (sans évoquer leur traumas) plutôt que de savoir vraiment comment vous allez…

2. Les cadrans

La seconde technique consiste à utiliser différents cadrans (comme ceux vus précédemment) qui vont permettre d’identifier la nature de l’âme. Un premier cadran va pouvoir chercher à définir la source de l’âme : est-ce une âme perdue, un fœtus, un suicide, un membre de la famille, un amiLa recherche va alors se poursuivre pour identifier plus précisément chaque élément. Si le pendule fait ressortir par exemple « un membre de la famille », il convient alors d’en utiliser un autre pour savoir s’il s’agit du père, de la mère, du grand-père paternel/maternel, de la grand-mère paternelle/maternelle…

3. L’âge du traumatisme

Une autre possibilité consiste à aller chercher la ou les date(s) à l’origine de la présence de l’âme. Ce travail, complémentaire du premier va aller procéder par une autre technique non pas sur la personne concernée mais sur le pourquoi de l’accroche.

Les personnes, en déterminant une date, voient quasiment toute de suite l’objet concerné par l’emprise. Deux techniques sont envisageables dans cette recherche : soit déterminer une année 2001, 2010… avec des cadrans appropriés qui déterminent les années ou au contraire le nombre d’années (1, 2, 3…) qui permet de cibler depuis combien d’années s’est déroulé le choc. Attention, cette dernière approche peut indiquer non pas le temps depuis lequel a eu lieu l’arrivée de l’âme mais l’âge qu’avait la personne à ce moment. Dès qu’une date ou une durée apparaît, il convient de confirmer l’information : « est-ce que le traumatisme initial trouve sa source il y a XX ans ? » puis d’évoquer cette ou ces informations avec la personne.

Vous et la personne allez être surpris de l’efficacité de ces techniques qui sont simples et vont directement cibler le mal-être de la personne venu vous voir.

4 – Est-on prêt à se libérer ?

Les étapes vers la libération sont nombreuses et nécessitent du temps et de l’acceptation. Le schéma descriptif ci-dessous indique les différentes étapes à réaliser, chacune n’étant possible à effectuer qu’une fois la précédente accomplie. Il n’est pas possible de sauter les étapes sous peine de recommencer le travail avec la fausse impression d’avoir « réussi » l’épreuve et de se fourvoyer sur son propre soi. Le travail du passeur d’âme ne peut intervenir qu’à la fin du processus. Et même si vous avez envie d’aller plus vite, n’oubliez jamais que vous ne pouvez pas travailler sans l’accord de la personne et qu’elle a peut-être besoin de continuer un bout de chemin avec les âmes qui l’accompagnent.

Nicole, 75 ans, nous consulte pour une addiction au sucre. Durant la conversation, on se rend rapidement compte que le sujet n’est pas là. Elle nous raconte que son mari et une de ses filles sont morts dans un accident d’avion et qu’une autre de ses filles est morte d’un cancer. Après étude, on constate que ces trois âmes sont bien avec elle. Elle décide de les garder à ses côtés, préférant finir ses jours avec une présence.

5. Prendre conscience d’un attachement

Présence d’âme(s)

 

Prise de conscience

 

Amis

 

Famille

 

Acceptation

 

Rencontre avec le thérapeute

 

Mal être

 

Reprise en main de sa vie

 

Chemin du retour au soi

Il est souvent difficile de faire prendre conscience aux personnes qu’elles ont une emprise, que quelque chose ne va pas. La société actuelle nous pousse à ne voir notre mal-être que dans des éléments extérieurs à notre personne car elles considèrent qu’elles ont tout (matériellement parlant)

 

pour être heureuses. Elles assimilent généralement leur baisse de forme à l’excès de travail, à la société qui ne laisse pas de temps, de repos…. A tout sauf à des formes, choses, esprits et/ou des problèmes qui n’ont pas été réglés.

La prise de conscience est ainsi assez longue car comme la personne a rarement l’occasion d’intellectualiser directement une présence ou de sentir que quelque chose ne va pas (explication par la suite), ce sont les élément/personnes extérieurs qui se chargent de leur signaler et cela nécessite beaucoup de temps et d’interlocuteurs différents. Et lorsqu’une seule personne va signaler un comportement a-normal, la normalité étant considérée comme étant antérieur au traumatisme, c’est elle qui va être mise à l’écart, signalant des attitudes que la personne ne reconnaît pas.

C’est après avoir entendu plusieurs fois un signal ou constaté que les dysfonctionnements existaient dans plusieurs domaines que la personne va pouvoir prendre conscience de quelque chose de différent. Cette phase est la plus longue et peut durer de quelques mois à quelques années (ou toute une vie).

Un couple de commerçants nous envoie un mail pour des problèmes dans leur commerce. En réalité, c’était leur enfant qui avait fait cette démarche. Cela faisait plus de quinze années qu’ils subissaient problèmes sur problèmes (alors que tout devrait aller bien) à avoir de nombreuses personnes qui leur ont dit « ce n’est pas normal », « vous avez quelque chose sur vous »…